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Accompagner une personne en burn-out : les 5 choses à éviter

Bienvenue sur le blog Partage ton burnout, n’hésitez pas à parcourir les articles et à demander votre ebook gratuit en cliquant ici : 21 jours pour prendre soin de soi .

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Accompagner une personne en burn-out est une posture difficile. Bien sûr, on se trouve dans une position à priori plus favorable que celui/celle qui souffre d’épuisement professionnel. Pourtant, pas facile de savoir quoi faire face à cet effondrement aussi soudain qu’incompréhensible. L’entourage se trouve alors bien souvent démuni. Lisez cet article pour connaître les 5 choses à éviter quand on accompagne une personne en burn-out.


1- TOUT FAIRE POUR AIDER LA PERSONNE A TENIR LE COUP ET NE PAS S’ARRETER

Et si la meilleure option était de prendre le mur ?

Il est naturel de vouloir tout faire pour aider quelqu’un à éviter de « se prendre le mur ». Pourtant dans le cas du burn-out, « le mur » que la personne veut éviter, c’est l’arrêt de travail. Or c’est bien souvent la seule solution pour arrêter le cercle vicieux qui s’est mis en place. C’est après cet arrêt que la personne sera prête à remettre en question sa façon de fonctionner au travail et pourra commencer un processus de reconstruction.

L’arrêt de travail est donc indispensable pour :

  • Rencontrer un médecin qui pose un diagnostic (et ainsi que la personne prenne conscience de son état)
  • Arrêter le cercle vicieux en place et sortir de l’environnement générateur de stress
  • Prendre conscience que le schéma de croyances liées au travail (ou à la situation générant le burn-out) ne fonctionne pas : arrêter de résister coûte que coûte, de croire que l’on est indispensable ou encore que l’image professionnelle que l’on renvoie est primordiale etc.
  • Prendre le temps de récupérer de l’énergie et de se soigner

Témoignage de Nathalie : « Je ne touchais plus terre, et je me sentais piégée car je ne pouvais pas craquer, c’était impensable pour moi, j’étais sûre que j’allais y arriver. Ce qui était très piégeux, c’est que j’étais reconnue pour ce que je faisais. (…) On me disait : « mais comment tu fais, c’est dingue la charge de travail que tu as ! ». J’y voyais un challenge, la reconnaissance que je me dépassais et ça créait une forme d’excitation en plus. »

Que faire pour accompagner une personne en burn-out :

Pour inciter la personne à aller consulter, vous pouvez l’aider à prendre conscience de l’état d’épuisement dans lequel elle est. Pour cela, vous pouvez lui demander d’énumérer et d’évaluer les symptômes physiques, psychologiques ou comportementaux dont elle souffre. Puis proposez-lui d’identifier les limites qu’elle ne voudrait pas dépasser (expl : ne plus être en capacité de s’occuper des enfants, avoir des problèmes physiques : tachycardie, baisse de vue etc). La personne se rendra compte d’elle-même qu’elle a déjà franchi le seuil qu’elle se fixait et qu’une consultation médicale s’impose. Il est préférable, autant que possible, que la démarche de consultation (et donc d’arrêt) vienne d’elle-même.

N’hésitez pas à lui faire lire les articles suivants :


2- NIER, BANALISER OU MINIMISER LA SITUATION

Le choc est souvent brutal pour la personne qui se retrouve en arrêt tout comme pour son entourage qui ne la reconnaît plus. Comment comprendre que ce conjoint/collègue/ami si positif, endurant habituellement devienne aussi léthargique, mou, déprimé ? Face à l’incompréhension, il est tentant de vouloir minimiser ce qui se passe. « bon ben c’est bon, tu ne vas pas devenir hypocondriaque non plus ! », « Tout ça c’est dans la tête, de toute façon c’est pas une vraie maladie », « T’as qu’a te secouer un peu, ça te fera du bien », « bouge toi les fesses, sinon tu n’arriveras jamais à reprendre ! » ou encore « ne t’inquiète pas, il suffit que tu te reposes un peu et ça va aller », « mais non, ne dis pas que tu n’y retourneras pas, ça va s’arranger, quand tu y retourneras, ils auront changé » etc.

Le déni est un mécanisme de protection face aux situations difficiles. Ne pas regarder la réalité en face permet d’éviter de souffrir. Même si ce n’est pas vous qui êtes en arrêt maladie, cela vous touche, vous heurte, vous inquiète et c’est bien normal. N’hésitez pas à vous faire aider vous aussi pour surmonter cette épreuve. Vous pouvez par exemple en discuter avec des proches, lire des contenus sur le sujet ou encore vous faire accompagner par un psychologue.

Que faire pour accompagner une personne en burn-out :

Comme le partage Chantal Darme dans son interview : « Accompagner quelqu’un c’est un équilibre complexe. C’est à la fois être présent et rester à sa juste place. Ni trop près, ni trop loin. ». Si vous ne savez pas comment aider votre conjoint/ami/collègue, commencez par l’écouter et lui demander ce dont il a besoin.

Verbaliser ce qui se passe pour lui et être écouté de façon bienveillante et sans jugement est un des points les plus importants. Cela lui permettra, de plus, de se libérer de la croyance qu’il doit-être parfait ou fort pour être aimé.

Témoignage de Pierre : Quand ma femme s’est retrouvée en arrêt, elle a passé les 2 premières semaines à dormir, pleurer et avoir des douleurs dans tout le corps. Plus cela allait, plus elle se plaignait de douleurs : la tête, le dos, les muscles. Ce n’était pas facile à comprendre pour moi, parce qu’elle n’avait jamais été comme ça avant et parce que cela n’avait pas de sens. J’avais peur que cela dure. Elle m’a dit qu’elle avait besoin que je l’écoute car elle avait besoin de dire ce qu’elle vivait. Alors j’ai écouté et j’ai arrêté de dédramatiser ou chercher des solutions aux problèmes qu’elle me présentait. Le plus dur pour moi était de ne pas laisser transparaitre mes propres peurs afin de ne pas ajouter un stress supplémentaire à mon épouse.

Témoignage de Maud : Mon mari était perdu. Il ne comprenait pas du tout ce qui m’arrivait. Ce sont nos amis qui l’ont aidé. Ils lui ont dit : « mais là je crois qu’il ne faut pas qu’elle fasse quoi que ce soit. Il faut qu’elle ne fasse RIEN ». Ce sont eux qui ont permis à mon mari de prendre conscience de l’état dans lequel j’étais. Du coup mon mari s’est plutôt effacé. Comme il aime bien donner des conseils, le fait de se taire était surtout pour éviter de dire n’importe quoi. Finalement il m’a épargné ses états d’âmes.


4 – CROIRE QUE CELA VA S’ARRANGER AVEC LE TEMPS ET QU’ENSUITE TOUT REDEVIENDRA COMME AVANT

Si vous êtes bercé par cette croyance, il va falloir que vous acceptiez que Non cela ne s’arrangera pas « tout seul » et non il ne vaut mieux pas que cela redevienne « comme avant ».

Pourquoi est-ce qu’il ne suffit d’attendre ?

Paradoxalement, se remettre d’un burn-out demande des efforts. En ce sens le terme français d’ « épuisement professionnel » peut-être mal interprété. Le mot « épuisement » fait référence au fait d’être « vidé » de son énergie, de ne plus avoir de ressources. L’image que l’on présente souvent est une pile « vide ». On pourrait donc penser qu’il suffirait de reprendre de l’énergie en se reposant pour aller mieux (attendre que les batteries se rechargent en quelque sorte). Or c’est loin d’être aussi simple.

Se relever d’un burn-out va nécessiter un changement profond du modèle de fonctionnement de la personne face au travail (ou à la situation qui a déclenché l’épuisement). Comme le dit Annabelle dans son témoignage : « La seule solution pour sortir du burn-out c’est forcément une modification. Et il va falloir se faire accompagner ou aider pour cela. »

La reconstruction passera par des étapes de repos, mais aussi de travail thérapeutique, de développement personnel, de modification du mode de vie etc. Sandra Effervescience préfère donc utiliser l’image de la pile oxydée (vs pile vide) pour représenter le burn-out. Il va donc falloir « nettoyer la pile » avant de pouvoir l’utiliser de nouveau. Certains garderont d’ailleurs des séquelles physiques ou psychologique de cet événement.

Pour aller plus loin, dans la compréhension des étapes pour se remettre d’un burn-out, vous pouvez lire : les 7 étapes du burn out

Pourquoi est-ce que cela ne redeviendra pas comme avant ?

Vous l’avez compris si la reconstruction passe par un changement profond, c’est que la personne ne redeviendra plus jamais comment avant. C’est ce dont témoignent les personnes qui se sont relevées. Et c’est tant mieux puisque le fonctionnement précédent était épuisant ! Même si cela a pu vous paraitre extrêmement performant, il n’était pas viable à long terme.

Témoignage de Maud : Il faut accepter qu’après le burn-out, ce ne sera plus jamais comme avant. Et tant mieux, parce que dans mon cas, pour rien au monde je ne reviendrais en arrière à vivre comme je le faisais avant.

Que faire pour accompagner un personne en burn-out : 

Vous pouvez aider votre conjoint/ami/collègue à créer un schéma plus équilibré. Une fois qu’il va mieux, et a récupéré un peu d’énergie, vous pouvez l’inviter à reprendre du plaisir et petit à petit à réapprendre à s’écouter et prendre soin de lui : aller au cinéma, lire un livre, marcher en nature, faire du sport, renouer avec des amis etc. Même si cela semble très simple, c’est une étape qui n’est pas facile pour un « burnouté » qui ne sait plus ce que cela veut dire. Incitez le à reprendre la main sur sa vie en se faisant accompagner par un thérapeute puis par un coach.

Vous pouvez par exemple : l’inviter à télécharger le ebook gratuit : 21 jours pour prendre soin de soi ou encore lui faire lire cet article sur les 7 astuces pour se relever du burn out avec le nerf vague


5 – PROFITER DE L’ARRET POUR FINIR TOUT CE QUI A PRIS DU RETARD

« Puisque t’es à la maison, tu pourrais en profiter pour tailler la haie ? Elle en a bien besoin ! », « du coup j’annule la garderie, tu pourras aller les chercher à l’école l’après-midi ? » ou encore « tu n’as rien fait aujourd’hui, moi je travaille, je ne vais pas en plus me taper le ménage ».

Malheureusement, l’arrêt de travail n’est pas une période congés et encore moins l’opportunité pour rattraper tout ce qui a pris du retard à la maison. S’occuper du jardin, des enfants etc. peut être une source de bien-être et un moyen de reprendre pieds à moyen terme. Mais au début de l’arrêt pour épuisement professionnel, la seule chose à faire est de se reposer et de lâcher toute contrainte/obligation extérieure. C’est pour cela qu’un des éléments les plus compliqués pour le rétablissement de jeunes parents en burn-out est la charge familiale.

Que faire pour accompagner une personne en burn-out : 

N’hésitez pas au contraire à aider votre conjoint/ami/collègue en le relevant de ses tâches quotidiennes (s’occuper des enfants, faire à manger, ranger la maison etc.). Concoctez-lui des bons petits plats sains qui le reconnecteront à des sensations agréables et l’aideront à se remettre sur pied (cf article sur le nerf vague). Et si vous non plus n’en pouvez plus, demandez de l’aide à l’extérieur. Nb : pour aller plus loin lisez l’article : 7 astuces pour parents épuisés

Témoignage de Julie : « Cela a duré 3 jours où je ne pouvais pas me lever de mon lit, je ne pouvais pas manger et je n’étais pas malade. Je n’avais juste plus d’énergie pour faire marcher la machine. Je me souviens que ma mère est venue m’apporter des pommes pour que je mange quelque chose. »

Témoignage d’Astrid : Mon conjoint rentrait tard car il travaillait loin. Or j’étais incapable de m’occuper des enfants ou de la maison. Nous avons pris une nounou qui allait chercher les enfants à l’école, s’occupait d’eux jusqu’au retour de mon mari. Plus tard, quand j’ai repris des forces, j’ai retrouvé du plaisir à m’occuper des enfants. Je me suis même proposée pour accompagner les sorties scolaires et cela me faisait du bien.


CONCLUSION

Pour conclure, je dirais qu’accompagner une personne en burn-out n’est pas simple. Pour avoir quelques clefs supplémentaires, n’hésitez pas à lire l’interview de Chantal Darme sur ce sujet ainsi que les témoignages de burnoutés qui je l’espère vous aideront à trouver votre place.

Pour en savoir plus sur le burn-out :

D’autres ressources :

Si un de vos proches a vécu un burn-out, n’hésitez à témoigner dans les commentaires de cet article pour offrir aux autres votre expérience. Comment est-ce que vous l’avez vécu ? Qu’est-ce qui a fonctionné ? Qu’est-ce qui n’a pas fonctionné ?

Vous avez aimé ? N’hésitez pas à laisser un message, liker, partager de façon à ce que d’autres puissent découvrir ce blog et peut-être avancer un peu plus sur leur chemin.

photo : Pixabay : weband

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14 Commentaires

  1. Stephane

    Intéresant,, en effet pas toujours facile de savoir a qui parler de burnout, certains ne comprenent pas.

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  2. Jung

    Sujet tellement sensible en effet que celui du burn out. Ce n’est jamais facile de savoir comment procéder, comment soutenir, quoi dire, quoi faire. Merci pour ces conseils précieux.
    (par contre, j’ai pas vu de point n°3)

    Réponse
    • Astrid LE FUR

      Ravie que cet article ait pu vous aider

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  3. Caroline

    Pas facile en effet d’aider un proche surtout qu’on n’accepte la réalité qu’une fois au pied du mur. Comme tu le dis très bien il faut parfois laisser aller au bout et être aidant pendant la remontée. Merci pour cet article très juste.

    Réponse
    • Astrid LE FUR

      merci Caroline

      Réponse
  4. Marie

    Merci Astrid pour cet article bienveillant!
    Il permet aux personnes en burn-out de se sentir comprises et donne des conseils clairs et pertinents pour l’entourage!
    Pour avoir aussi vécu cela, je peux dire que ce qui m’a le plus aidé sont les personnes qui ont su accepter sans jugement ce qui m’arrivait et qui ne m’ont pas culpabilisée d’être humaine et d’avoir besoin d’une pause. Au final, on en sort grandit!

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    • Astrid LE FUR

      merci Marie pour ce partage

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  5. Lydie

    Le burn out de mon mari a été diagnostiqué en mars de cette année. Il était sous-jacent depuis des mois. Raison pour laquelle nous avions d’ailleurs changé de région parce qu’il a changé de travail (pour fuir le précédent). Malheureusement, ce nouvel emploi ne s’est pas bien passé non plus et le burn out l’a rattrapé. Son médecin traitant l’a tout de suite identifié, ce qui était très bien car il a très vite été pris en charnue et entouré de professionnels (PSG, hypnose, infirmière…).
    De mon côté, j’ai tenté de l’accompagner du mieux que je pouvais, je n’ai pas nier la maladie, ni mis la pression. J’ai essayé de l’entourer d’amour et d’attentions tout en souffrant moi-même de la situation.
    Depuis mars, son état n’a pas progressé, il a même empiré. Son état de santé notamment à cause des traitements. Son état psychologique n’est pas mieux et nos relations se sont lentement dégradées. Nous avons suivi une thérapie de couple. Mais la troisième séance qui vient d’avoir lieu n’a servi qu’à m’apprendre, par l’intermédiaire de la thérapeute, qu’il souhaitait une séparation car il ne supporte plus de me voir. Il veut penser à lui avant tout et à son état de santé.
    Ce n’est pas le témoignage le plus positif. Je suis perdue face à sa décision. Il me parle à peine et semble ne pas être touché, et ce depuis des mois, par ma tristesse ou ma souffrance, comme si les 17 années de vie de couple n’avaient aucune importance.
    Je cherche à comprendre mais je n’obtiens aucune réponse.
    Le burn out est vraiment une terrible maladie et qui touche bien plus que la personne atteinte.

    Réponse
    • Astrid LE FUR

      Bonjour Lydie, je suis désolée de lire vos lignes. Merci d avoir témoigné ici. Votre témoignage fera sans doute écho chez d autres personnes. Vous avez raison le burn out a des impacts importants sur l entourage de la personne et on oublie parfois les victimes collatérales. J’espère que vous trouverez ensemble une issue qui vous conviendra à tous les deux.

      Réponse
  6. Coll

    Actuellement en pleine rechute de burnout, c’est très douloureux, et je m’en veux car je voyais bien depuis plusieurs mois le schéma de la première fois se dessiner.
    Au travail, ne pas savoir dire non, trouver de plus en plus d’activités annexes d’aide pour me sentir utile…me dévouer corps et âme à la famille, aux amis…
    Avoir besoin d’être un peu reconnu car je me sentais nulle….
    Des maux divers, pas une once de plaisir vrai…bref je me consumais progressivement.
    Donc merci à ce week-end d’explosion…je suis au fond…je sais pourquoi et surtout j’ai appelé les urgences psy qui m’ont permis de dire  » je dois me faire soigner « .
    Donc, je démarre le nouveau « travail  » : apprendre à m’aimer, à accepter de me faire du bien et à refuser d’être la serpillière de tout le monde…je peux avoir des envies aussi.

    Réponse
    • Astrid LE FUR

      Merci Coll pour votre partage. Je suis sure que votre histoire résonnera pour d autres. Je suis de tout cœur avec vous dans ce nouveau « travail » que vous entamez.

      Réponse
  7. Cath

    Bonjour, je me reconnais dans beaucoup d’histoires sur les déclencheurs et les symptômes. Mon conjoint a malheureusement quitté le navire et n’a pas su m’accompagner quelques semaines après le diagnostic, en pleine période noire. Il a pris cet état de mal être comme une preuve de mon désamour. Il a absorbé le stress, l’anxiété et la souffrance et s’en est presque rendu responsable. La période où ça nous tombe dessus est très difficile à vivre et tant qu’on n’a pas de suivi, il est plus difficile de mettre des mots justes sur ce qui nous arrive (cf. Sentiment de honte de ne pas y arriver, cette fois) et de comprendre les symptômes qui s’accumulent tant aux niveaux physiques, cognitifs, émotionnels etc. Mon message est plutôt simple : il sera pour les conjoints. Patience, ouverture et présence sont des éléments importants dans l’accompagnement de la personne en burnout. Je suis bien consciente que la souffrance des partenaires est également importante et que pour s’en sortir mutuellement grandis, il est nécessaire de cultiver communication et douceur pour préserver la relation. Cette deuxième peine a malheureusement prolongé la période noire vers un état dépressif (tourné vers le passé et les regrets) mais avec un suivi thérapeutique et un entourage bienveillant, il est possible de s’en sortir et de renouer avec soi-même. Merci pour ce site et votre livre très éclairant.

    Réponse
    • Astrid LE FUR

      Merci beaucoup Cath pour votre partage dans lequel d autres pourront se retrouver. « Patience, ouverture et présence » 3 mots clés auxquels se raccrocher dans cette tempête qui peut fragiliser le couple. Je suis de tout cœur avec vous dans le chemin de la remontée. Merci aussi pour votre retour sur le livre « Du burn-out au born-out, les 7 étapes vers la renaissance ». Pour que d autres puissent le trouver plus facilement quand ils en ont le plus besoin, vous pouvez aider à mieux référencer le livre en mettant un commentaire sur Amazon ;-).
      Beau chemin à vous.
      Astrid Le Fur

      Réponse
  8. Zidane

    Merci, cela m’aide beaucoup !
    Vous m’avais sauvé merci <3

    Réponse

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